Notre Philosophie

Manger dans un restaurant, c’est une rencontre entre les clients, une équipe et un lieu géographique. C’est le caractère propre à la région qui nous inspire une vraie philosophie dans l’offre que nous vous proposons. Des choix et des partis pris pour donner du sens à cette rencontre.
 

LA PART DES ANGES est au cœur des éléments. Située face à l’Océan, aux embruns, aux bouffées d’iode, face à des couchers de soleil extraordinaires. Le Médoc est un territoire au caractère fort, au verbe haut. Depuis le plus grand estuaire d’Europe, la pinède et la plage s’étendent jusqu’au Pays Basque.
 

Notre cuisine veut s’inscrire en résonance avec la belle richesse de ce littoral. Toute notre équipe vous propose une cuisine sincère, simple et goûteuse.
 

Que vous veniez en famille, entre amis ou entre collègues, nous mettrons tout en œuvre pour vous faire passer un agréable moment en toute convivialité.  Venez et détendez vous, on s’occupe de tout.
Merci de respecter la quiétude des autres convives.

Toute l’équipe vous souhaite un bon appétit !

Toutes les préparations sont faites maison.


La part des anges est la partie du volume d’un alcool qui s’évapore pendant son vieillissement en fût. Notamment présente dans les chais d’armagnac ou de cognac, l’expression aurait pour origine l’alchimie qui désignait par anges les substances volatiles. Pendant toute la durée du vieillissement, le degré alcoolique va ainsi progressivement diminuer par évaporation. C’est ce qui rapproche naturellement et progressivement le spiritueux concerné de 40% vol. Dans la région de Cognac, cela représente l’équivalent de plus de vingt millions de bouteilles par an. Ces vapeurs d’alcool nourrissent un champignon microscopique, Baudoinia compniacensis1. Il recouvre, en les noircissant, les pierres des murs de la région, leur conférant ainsi une couleur caractéristique. Cette coloration servait autrefois aux autorités locales pour repérer les productions clandestines ; on raconte que les chais de Cognac furent identifiés et bombardés pendant la Seconde Guerre mondiale à cause de ce phénomène.